Ensemble réalisons des projets durables
Agroécologie
Optibiom développe des projets d’infrastructures agroécologiques pour renforcer la biodiversité localement, au sein d’espaces périurbains et ruraux. Dans le cadre de cette activité nous avons créé des infrastructures végétales cohérentes où le foisonnement de la vie sauvage est possible.
La mise en place des forêts natives
est réalisée selon la méthodologie préconisée par le botaniste Akira Miyawaki expert en écologie végétale.
L’élaboration des forêts comestibles
est réalisée selon les préconisations de M. Martin Crawford, fondateur et directeur de l’Agroforestry Research Trust.
Les autres infrastructures baptisées « Jardin Oasis » et « Jardin d’Eden »
sont réalisées autour de point d’eau créé artificiellement, et composées de plantes essentiellement vivaces, arbres et arbustes.
L’ensemble de ces infrastructures végétales font l’objet de suivi et d’expérimentation, notamment au NIDD d’OPTIBIOM, notre site d’Innovation pour le Développement Durable proche de Thouars.
Dans le cadre du développement de projets durables, parallèlement au développement d’installation de production d’énergies renouvelables, nous avons à cœur de renforcer la biodiversité mise à mal par notre culture collective d’aménagement et de gestion de nos territoires.
Nos missions
Dans le cadre de notre activité Agroécologique nous avons été sollicités pour les missions suivantes :
- Élaboration d’une démarche de renforcement de la biodiversité et de production de fruits et de légumes dans une zone d’activité économique
- Développement de projets d’aménagement de site pour favoriser l’installation de microfermes en permaculture
- Information sur les éléments clés pour renforcer la biodiversité d’un lieu
- Information sur les diverses pratiques de maraichage bio-intensif sur petite surface
Nos interlocuteurs
Vos avantages
Nos solutions techniques permettent :
De renforcer la biodiversité localement
De stocker toujours plus de CO2
De produire quelques fruits et légumes pour les humains
De prendre en compte la présence locale des non-humains sauvages